Fiche 1

Sous famille des Bittiinae, Cossman, 1906
   Argyropeza Melvill & Standen, 1901,
   Cerithidium Monterosato, 1884. Sculpture spirale faible.
   Bittium Leach, 1847
    Ittibitium Houbrick, 1993
    Pictorium Strong & Bouchet, 2013

Fiche 2

Sous famille des Cerithiinae, Fleming, 1822
   Cerithium Bruguière, 1789: Fusiforme, opercule corné.
   Clypeomorus Jousseaume, 1888: Spire courte, allure ventrue, une varice sur le corps

Fiche 2bis

Sous famille des Cerithiinae, Fleming, 1822
   Cerithium zebrum Kiener, 1841 

Fiche 3

   Rhinoclavis Swainson, 1840: Spire haute, un pli columellaire.
   Royella Iredale, 1912

Rhinoclavis articulata (Adams & Reeve, 1850). (177).

Spire haute et pointue de 15 tours. 5 cordes spirales portant des perles allongées et espacées, la plus haute, sous suturale, portant des tubercules allongés axialement et plus serrés, 23 sur l'avant dernier tour. 1 varice arrondie.
    Blanc crème avec de petites taches brunes.
    Trouvé vivant sur les fonds de sable, de 10 à 50 m. Rare.
    Hauteur maximale: 48,2 mm.

Rhinoclavis aspera (Linné, 1758). (163) Syn. Rhinoclavis lineata (Lamarck, 1822).

Spire pointue de 14 tours. 15 côtes axiales par tour, croisées par des cordes spirales espacées, 4 par tour, avec une forte perle à chaque croisement. Nombreux sillons spiraux entre les cordes.
    Vivant dans les lagons et en mer jusqu'à 30 m. Peu commun à la Réunion.
    Hauteur maximale 46,9 mm.

Rhinoclavis diadema Houbrick, 1978. (1140)

Volumineux bourrelet spiral sous-sutural portant des tubercules espacés, et 3 cordes spirales aplaties en dessous de lui.
    Blanc crème avec des taches brun clair, plus grosses sur le bourrelet.
    Dans le sable en bordure des rochers basaltiques, 30-40 m; assez commun.
    Hauteur 22,2 mm.

Rhinoclavis fasciata (Bruguière, 1792). (336) Syn. Rhinoclavis martinianum (Pfeiffer, 1840).

Spire haute de 13 tours. Des incisures axiales déterminent des plis axiaux, sur la moitié supérieure des tours seulement.
    Blanc crème avec 2 lignes spirales de points beiges à la partie inférieure des tours.
    Vivant dans le sable de 10-40 m. Peu commun.
    Hauteur maximale 62 mm.

Rhinoclavis granifera (Pease, 1861). (1847).

Spire haute de 14 tours. Une forte corde sous-suturale porte des tubercules pointus espacés, 12 par tour. Une autre corde au 1/3 inférieur porte des tubercules plus petits, et une troisième corde entre les 2 précédentes est à peine tuberculée.
    Un seul spécimen vivant dans le sable de 35 m.
    Hauteur 23 mm.

Rhinoclavis kochi (Philippi, 1846). (710).

Spire étroite et allongée de 12 à 15 tours. 7 cordes spirales par tour, la plus forte sous-suturale portant des perles arrondies serrées. Des perles plus espacées sur les autres cordes.
   Tous les intervalles entre les cordes sont brun plus foncé que les cordes
   Vivant dans le sable de 10 à 60 m. Assez commun.
   Hauteur maximale: 39,2 mm.

Rhinoclavis kochi (Philippi, 1848) 3506
Proposition Raymond Huet : forme juvénile

Spire conique pointue de 14 tours. 7 côtes axiales arrondies au demi-tour; une corde sous-suturale au dessus des côtes, portant des perles, 15 au demi-tour. Au dessous d'elle, 4 cordes surcroisant les côtes.
    Brun orange brillant, les premiers tours blancs.
    1 spmn cans le sable dragué de 60 m.
    Hauteur 18 mm.

Rhinoclavis sinensis (Gmelin, 1791). (182)

Spire haute de 14 à 15 tours peu élevés. Une rangée spirale de tubercules pointus sous la suture, au nombre de 15 à 16 par tour. 11 à 15 cordes sur le reste des tours, inégales et plus ou moins tuberculées.
    Blanc crème brillant, les espaces entre les tubercules pointus sous-suturaux sont brun foncé, de même que les tubercules des autres cordes spirales.
    Vivant dans le sable et sur les rochers, de 20 à 50 m. Assez commun.
    Hauteur maximale: 56,1 mm.

Rhinoclavis sinensis var. cedonulli (Gmelin, 1791). (179)

Une corde spirale sous-suturale saillante portant des tubercules au nombre de 10-12 sur le dernier tour, et de fins traits axiaux bruns dans leurs intervalles. Nombreuses cordes plus faibles en dessous d'elle.

Vivant dans les lagons. Commun.

Hauteur maximale: 26 mm.

Royella sinon (Bayle, 1880). (2039).

Spire de 7 tours convexes. 2 fortes cordes spirales par tour, reliées par des côtes axiales au nombre de 13-14 par tour; un tubercule arrondi à chaque intersection.

3 spécimens morts dans le sable de 10 à 60 m.

Hauteur maximale: 9,8 mm.