Clithon coronatus ( Leach, 1815 ) (1105) syn C. longispina (Récluz, 1841)

Légère mais solide, en forme de nérite. Spire très courte et plate au sommet le plus souvent brisé. Fines stries axiales sérrées, et une rangée spirale de très longues épines, 6 sur l'adulte.
   Couleur noire, ouverture blanche, columelle teintée de jaune.
   Vivante dans les rivières du nord-est de l'ile uniquement.
   Taille 12 mm x 17 mm .

Clithon oualaniense(Lesson, 1831) (Coll.Martin 1698)
Mise a jour : Raymond Huet

Coquille légère, spire haute érodée. Très fines côtes axiales sérrées. Fond beige pâle, surchargé de fines lignes et chevrons bruns. Bord columellaire aigu sans dent.

Un spmn mort dans le sable de 50 m.

Longueur 8 mm ; hauteur 6 mm.

Neripteron bensoni Recluz, 1850. (609)
Mise à jour : Raymond Huet

Lisse ou faiblement cordée. Couleur variable. La coquille est souvent attaquée .

Vit sous les pierres au bord des lagons et des mares. Commune.

Taille maximale 9,7 x 12,5 mm.

Neripteron mauriciae Lesson, 1831 (607)
Mise à jour : Raymond Huet

L'évasement de l'ouverture n'apparaît qu'à l'âge adulte. Décorée de fines lignes axiales serrées alternativement blanches et noires.

Commune.

Taille maximale: 15,9 x 14,2 mm.

Neripteron simoni Prashad, 1921
Spécimen : Raymond Huet

Petite coquille solide à ouverture ovalaire, élargie en haut chez les exemplaires matures.

Fond brun rosé avec bandes brunes et des taches blanches

Taille : 7 mm, maximun de 13 mm

Semble rare à la Réunion

Nerita albicilla Linné, 1758. (198)

Cordes fortes et très inégales, incisées de stries circulaires. Couleur très variable
    Vit sous les pierres dans la zone intertidale. Commune.
    Les spécimens portant 2 bandes noires ont été nommés N. venusta Philippi. Il s'agit de la même espèce.
    Taille maximale: 22 x 28,2 mm.

Nerita aterrima Gmelin, 1791. (644)

Cordes spirales inégales. Couleur noire unie, parfois parsemée de points blancs.

Vit sous les pierres dans la zone intertidale. Commune.

Taille maximale: 18,7 x 21,8 mm.

Nerita longii (Récluz, 1842) (199)
Mise a jour : Thomas Eichhorst

Cordes spirales irrégulières, incisées de stries axiales très fines.

Vit sur les pierres basaltiques dans la zone intertidale. Rare.

Taille maximale 18 x 20,3 mm.

Nerita magdalenae Gmelin, 17691 (196) (Syn : Nerita bisecta Reeve, 1855)

Cordes spirales très régulières, espacées, arrondies et saillantes. Vit sur les rochers basaltiques dans la zone intertidale.

Commune. Endémique de Maurice et Réunion

Noire unie.

Taille maximale 16,2 x 20 mm

Nerita plicata Linné, 1758. (194)

Cordes spirales très saillantes et largement espacées. Couleur crème avec des points noirâtres. Une bande jaune au bord de l'ouverture, qui s'affaiblit avec le temps.

Vit sous les pierres dans la zone intertidale. Commune.

Taille maximale 28 x 29 mm.

Nerita polita Linné, 1758. (900)

Très nombreuses petites côtes axiales, mais la coquille parait lisse à l'oeil nu. Couleur variable.

Vit sous les pierres dans la zone intertidale, ou enterrée dans le sable. Commune.

Taille maximale 25 x 34,2 mm.

Nerita aterrima forme punctata Gmelin, 1791  (195)
Mise à jour Raymond Huet

Des cordes spirales saillantes et inégales. Noire avec de nombreux points blancs sur les cordes.

Vit sous les pierres dans la zone intertidale. Commune.

Taille maximale 19 x 24 mm.

Nerita umlausiana Kraus, 1848. (982)

Parait lisse, mais porte des fortes stries axiales.

Vit dans les mares des rochers. Rare ou très rare.

Taille maximale 7,5 x 9,8 mm.

Nerita quadricolor (ou Nerita cf.
quadricolor) Gmelin, 1791 . (633)
Mise a jour : Thomas Eichhorst

Grande taille, spire saillante. Cordes spirales égales et serrées. Gris noirâtre avec des taches blanches dépassant les cordes.

Vit dans les mares basaltiques. Très rare.

Taille maximale 19,3 x 23,9 mm.

Smaragdia feuilletii (Audouin, 1827). syn. Smaragdia rangiana (Récluz, 1841) (241)

La coquille, l'opercule, et l'animal vivant sont vert pomme vif, avec ou sans points blancs. et une rangée spirale de fines lignes brunes. Ils sont semblables aux spécimens atlantiques connus comme S. viridis.
    Vit dans les herbiers (zostères) des lagons. Parfois rejetée sur la plage. Peu commune.
    Taille maximale 6,2 x 7,1 mm.

Smaragdia rangiana (Récluz, 1841)
Proposition Raymond Huet

"Petite coquille brillante d'un vert soutenu. Des taches rayonnantes blanches partant de la suture et des alignements de pointillés blancs en spirale souvent soulignés de traits foncés. Haut de l'ouverture clair et dents quasi-obsolètes."

Smaragdia souverbiana ( Montrouzier in Souverbie & Montrouzier ,1863) . (537)

Lisse et brillante, dessin de lignes noires et taches blanches.
    Vit dans les herbiers, souvent trouvée morte dans le sable de 10 à 70 m. Peu commune
   Pour (mollusks from Lutao) serait Smaragdia bryanae Pilsbry, 1917.
   Des spécimens portant 2 bandes jaunes sur fond blanc ont été décrits comme S. bellevillensis.
   Taille maximale 3,2 x 4,7 mm.

Smaragdia tragena (Iredale, 1936) (697) Syn : S. abakionigraphis Drivas & Jay, 1990.

Lisse et brillante. Dessin fait de taches brunâtres quadrangulaires sur fond blanc.

Trouvée morte dans le sable en baie de St.Paul de 20 à 60 m. Rare.

Taille maximale 3,6 x 4,5 mm.

Vittina gagates (Lamarck, 1822). (197)
Mise à jour : Raymond Huet

Légère et globuleuse. Lisse. Brun pâle avec des lignes brisées sérrées noires. Ouverture blanche, callus brillant, fines dents sur columelle. Periostracum épais noir profond.

Souvent reejetée sur la plage après les grosses pluies.

Hauteur maximale 22 mm