Fiche 1

Calcimitra Huang, 2011
    Cancilla Swainson, 1840
    Carinomitra Fedosov, Herrmann, Kantor & Boucher, 2018
    Condylomitra Fedosov, Herrmann, Kantor & Boucher, 2018
    Domiporta Cernohorsky, 1970
    Gemmulimitra Fedosov, Herrmann, Kantor & Boucher, 2018
    Imbricaria Schumacher, 1817: En forme d'olive ou de cône, lisse ou avec des sillons spiraux ponctués.
    Imbricariopsis Fedosov, Herrmann, Kantor & Boucher, 2018
     Nebularia Swainson, 1840.
    Neocancilla Cernohosrsky, 1966 : Fusiforme allongé, sculpture entrecroisée et perlée.
    Pseudonebularia Fedosov, Herrmann, Kantor & Boucher, 2018
    Pterygia Röding, 1798: Fusiforme allongée à cylindrique ovale, stries axiales et spirales.

Fiche 2

Mitra Lamarck, 1798 : Fusiforme, lisse ou avec des sillons spiraux.
 

Fiche 3

Profundimitra Fedosov, Herrmann, Kantor & Bouchet, 2018
    Quasimitra Fedosov, Herrmann, Kantor & Bouchet, 2018
    Roseomitra Fedosov, Herrmann, Kantor & Boucher, 2018
    Scabricola Swainson, 1840: Ovale ou cylindrique allongé, sillons spiraux profonds ponctués ou striés, ou cordes spirales.
    Strigatella Swainson, 1840
    Subcancilla Olsson & Harbis 1953: Fusiforme ovale ou allongé, cordes spirales incisées et stries axiales dans les intervalles.
   Swainsonia H. Adams & A. Adams, 1853
    Ziba H. & A.Adams, 1853: Fusiforme allongé, une carène présuturale, sillons spiraux et lires axiales dans leurs intervalles    

Calcimitra triplicata (Von Martens, 1904) Coll.Drivas
Mise à jour Raymond Huet

Très fusiforme, spire pointue un peu plus haute que l'ouverture.Sillons spiraux, 8 sur l'avant-dernier tour, 30 environ sur le corps, et faibles côtes axiales très sérrées.

Couleur brune, avec une bande irrégulière plus pâle à la partiesupérieure des tours.

1 seul spmn dragué par le Marion-Dufresne

Hauteur 55 mm.

Cancilla rehderi (Webb, 1958) MD 32
Mise à Jour Raymond Huet

Spire pointue aussi haute que l'ouverture.Cordes spirales espacées teintées de brun de façon discontinue, une large bande brune au milieu du corps.

MD 32; spmn non vu.

Hauteur 28 mm.

Carinomitra typha (Reeve, 1845). (386).
Mise à jour Raymond Huet

Petite et étroite, mince et brillante. Ouverture égale à la spire. Fines stries spirales, 6 sur les tours, peu visibles au milieu du corps.

Brun pâle avec une bande foncée à la base des tours, et 2 bandes sur le corps.

Morte dans le sable dragué de 10-20 m. Commune.

Hauteur maximale 10,2 mm.

Condylomitra bernhardina (Röding, 1798). (1493).
Mise à jour Raymond Huet

Epaisse, très large, spire courte turriculée. Tours saillants et fortement tuberculés à la suture, 8 tubercules par tour se continuant par des plis axiaux. Sillons spiraux profonds, 10 sur le corps.

Brun pâle, tubercules blancs.

Un seul spmn trouvé mort sur la plage.

Hauteur 17,2 mm.

Condylomitra tuberosa (Reeve, 1845). (121).
Mise à jour Raymond Huet

Petite et globuleuse, spire très courte très turriculée, ouverture plus haute que la spire. 10 côtes axiales fortes et espacées, arrondies, limitées aux tours et à la partie supérieure du corps. Cordes spirales les surcroisant, 4 sur les tours. La partie antérieure du corps porte seulement les cordes spirales tuberculées.
   Blanche, tiers moyen du corps brun, piqueté de blanc, tiers inférieur brun plus pâle. Intérieur brun.
    Etait considéré comme Vexillum Pusia, mais a été transférée.
   Vivante sur les rochers basaltiques. Rare.
    Hauteur maximale 16,8 mm.

Domiporta circula (Kiener, 1838). (1028).
Mise à jour Raymond Huet

Spire élevée et turriculée, haute comme près de 2 fois l'ouverture. Cordes spirales fines et régulières, 4 sur les tours, 22-23 sur le corps. Intervalles avez de fines stries axiales.

Blanc avec une bande gris-jaune sur la moitié inférieure des tours et le milieu du corps.

Vivante dans le sable à 10-20 m. Très rare.

Hauteur maximale 40,3 mm.

Domiporta carnicolor (Reeve, 1844).996
Proposition Raymond Huet

Hauteur 25.7 mm.

Domiporta filaris (Linné, 1771). (116).
Mise à jour Raymond Huet

Ovalaire, spire pointue égale à l'ouverture. Cordes arrondies brunes au nombre de 4 sur les tours, 11 sur le corps. Intervalles blancs avec des cordes secondaires plus faibles. Sillons axiaux profonds donnant une surface faiblement granuleuse.

Vivante dans le sable à 10-20 m. Commune.

Hauteur maximale 30,4 mm.

Domiporta granatina (Lamarck, 1811) (1647).
Mise à jour Raymond Huet

Ouverture aussi haute que la spire. Cordes spirales arrondies, alternant une forte et une faible, 9 sur l'avant-dernier tour dont 4 fortes, 20 sur le corps et la base. Intervalles en V occupés inconstamment par une trés faible corde. Sillons axiaux profonds assez réguliers.

Vivante dans le sable de 10-20 m. Très rare.

Hauteur maximale 30,7 mm.

Domiporta praestantissima (Röding, 1798). Coll. Drivas
Mise à jour Raymond Huet

Spire pointue plus haute que l'ouverture, faite de 7 tours convexes. Cordes spirales brunes, étroites, 5 par tour, fines cordes secondaires dans les intervalles, incisées de fins sillons axiaux.
    Blanche avec les cordes brunes.
    Séparée de Cancilla filaris par sa silhouette plus élevée, ses cordes plus étroites, ses cordes secondaires plus nombreuses.
    Un seul spmn crabé sur le fond de sable à 12 m.
    Hauteur 37,5 mm.

Gemmulimitra aliciae  (Poppe, Tagaro & Salisbury, 2009) 3342
Forme juvénile, proposition Raymond Huet

Protoconque conique de 4 tours lisses oblique sur la téloconque. Teloconque de 2,5 tours, avec des cordes spirales et des côtes axiales, dont l'entrecroisement donne de petites perles arrondies. 6 cordes sur l'avant dernier tour.
    Aspect voisin de la précédente sp 3339, mais la sculpture est nettement plus fine.
    Blanc.
    Hauteur 5 mm.

Gemmulimitra avenacea (Reeve, 1845)  (3342).
Proposition  Raymond Huet

Ovalaire allongée, spire égale à l'ouverture. Cordes spirales deforme arrondie, 3 sur les premiers tours, des cordes intermédiaires apparaissent sur les tours suivants. Intervalles en U avec de très fines côtes axiales.
    Brun pâle uni.
    Un seul spmn trouvé vivant sous une pierre à 12 m.
    Hauteur 12,8 mm.

Gemmulimitra boucheti (Cernohorsky, 1988). Coll.Drivas
Mise à jour Raymond Huet

Couverte de petits nodules arrondis et serrés, en rangées axiales et spirales au nombre de 5 à 6 sur l'avant-dernier tour, et 24 à 31 sur le dernier.

Trouvé mort par l'expédition du Marion-Dufresne à la profondeur de 75 m.

Hauteur  10,8 mm

Gemmulimitra solanderi (Reeve, 1844) ( Coll. Martin).
Mise à jour Raymond Huet

Biconique ovalaire, ouverture étroite arrondie. Cordes spirales arrondies, espacées, régulières, 5 principales à l'avant-dernier tour, une corde plus fine dans certains de leurs intervalles. Intervalles avec des petites sillons axiaux très sérrés.

Couleur brun-orangé pâle.

Baie de St. Paul, 20 m.

Dimensions 17,1 mm x 5,7 mm

Imbricaria cf. flammea  (Quoy & Gaimard, 1833) GH 4
Proposition Raymond Huet

Nettement biconique; spire effilée, mais plus courte que l'ouverture. Protoconque de 3 tours lisses; Téloconque de 8 tours légèrement convexes, portant 3 fortes cordes étroites arrondies et espacées; une corde plus fine sous la suture; un fin filet spiral ans chaque intervalle, surcroisant de fines côtes axiales sérrées.
    Blanc uni.
    1 spmn dans le sable dragué à 95 m. Coll. GH
    Hauteur 21 mm.

Imbricaria cf. flammea  (Quoy & Gaimard, 1833) 3584
Proposition Raymond Huet

Petite, juvénile. Protoconque de 4 tours lisses. Téloconque de 3 tours, avec 3 cordes spirales arrondies et lisses, leurs intervalles très finement striés axialement.

Crème, protoconque plus foncée.

1 spmn dans le sable dragué à 100 m.

Hauteur 3,5 mm.

Imbricaria cf. flammea  (Quoy & Gaimard, 1833) 3584bis
Proposition Raymond Huet forme juvénile

.

Hauteur 3,5 mm.

Imbricaria fulgetrum (Reeve, 1844) (1235).
Mise à jour Raymond Huet

Biconique, spire très pointue à bords légèrement concaves. Fortes cordes spirales arrondies, 3 sur les tours, 14 sur le corps. Intervalles en U ou à fond légèrement convexe, occupés par de fins sillons axiaux. Les cordes sont elles-mêmes incisées de 1 ou 2 sillons spiraux.
    Crème avec des taches brunes sur les cordes, confluant parfois en bandes axiales.
    Morte sur le fond de sable à 20-25 m. Très rare.
    Hauteur maximale 22,1 mm.

Imbricaria insculpta (A. Adams, 1853) (1027).
Mise à jour  Raymond Huet

Biconique allongée, spire pointue à bords légèrement concaves. 3 fortes cordes spirales par tour, 21 sur le corps. Intervalles larges, occupés par de petits sillons axiaux eux-mêmes incisés de 1 à 3 sillons spiraux. Les cordes sont lisses.
    Orangé pâle, avec des taches quadrangulaires brunes sous la suture.
    Vivante sous les pierres à 10-20 m. Rare.
    Hauteur maximale 26,7 mm.

Imbricaria interlirata  (Reeve, 1844) GH 18
Proposition Raymond Huet

Biconique, élancée, ouverture égale à la spire. Protoconque de 3 tours lisses, téloconque de 8 tours plats. Cordes spirales arrondies, 5 principales au dernier tour, 4 au tour précédent, une fine corde intérmédiaire entre elles. Intervalles avec des sillons axiaux très serrés, plus de 60 au demi-tour. Blanc brillant.
    Hauteur 21 mm.
    1 spmn dans le sable de 90 m baie de St. Paul.
    Même silhouette que C. salisbury (fiche 1, (2130))mais plus grande et non colorée, et de sp 3668 par le plus grand nombre de côtes axiales.

Imbricaria interlirata  (Reeve, 1844) 3716
Proposition Raymond Huet. Probalement une forme juvénile

Biconique, spire un peu plus haute que l'ouverture. Protoconque conique inclinée sur l'axe, de 4 tours lisses. Téloconque de 6 tours plats, chaque tour avec 3 fortes cordes spirales arrondies lisses, leurs intervalles avec chacun un très fin filet spiral et de très fins filets axiaux serrés. Blanc uni.

2 spmns dans le sable dragué de 100m, St. Gilles.

Hauteur 10 mm

Imbricaria intersculpta (G. B. Sowerby II, 1870) (2120).
Mise à jour Raymond Huet

Spire pointue à bords concaves, large à sa base. Cordes spirales de section triangulaire, à sommet plat, 3 par tour, avec une corde secondaire dans chaque intervalle. Fines côtes axiales donnant un aspect ponctué.

Blanc-crème avec des taches fauves.

Morte sur le fond de sable à 20-25 m.

Hauteur maximale 27,5 mm.

Imbricaria intersculpta (G. B. Sowerby II, 1870) 3668
Proposition Raymond Huet

Fusiforme, ouverture très légèrement plus haute que la spire. Téloconque de 7 tours. Des cordes spirales arrondies espacées, 4 principales à l'avant-dernier tour, avec une fine corde dans chaque intervalle. Leurs intervalles occupés par de très fines côtes axiales serrées, séparant des puits profonds.
    Crème avec quelques taches brun très pâle.
    Séparée de S. Flammigera sur l'existence des cordes spirales intermédiaires.
    Un spmn dans le sable dragué à 30 m.
    Hauteur 20 mm.

Imbricaria pretiosa (Reeve, 1844). (551).
Mise à jour Raymond Huet

Spire pointue turriculée un peu moins haute que l'ouverture. Cordes spirales principales arrondies alternant une forte et une plus faible, 9 sur l'avant-dernier tour, intervalles en V avec inconstamment une fine corde secondaire. Nombreux sillons axiaux régulièrement espacés surcroisant les cordes. Les 3 premières cordes de chaque tour sont un peu plus grosses.

Blanc crème avec des taches brunes allongées sur les cordes.

Vivante dans le sable à 10-20 m. Très rare.

Hauteur maximale 36,9 mm.

Imbricaria rufilirata (Adams & Reeve, 1850) Coll. Martin
Mise à jour Raymond Huet

Ouverture égale à la spire. 10 tours légèrement convexes et pointe efflée. Sillons spiraux assez profonds et continus, et axiaux plus faibles.
    Blanc avec des taches brun-orange
    A la barge de St. Paul, 20 m.
    Hauteur 18,8 mm.

Imbricaria salisburyi (Drivas & Jay, 1990). (2130).
Mise à jour Raymond Huet

Nettement biconique, à bords concaves. Cordes spirales, 4 par tour, une corde secondaire entre les 2 ème et 3 ème corde. Fines côtes axiales dans les intervalles, 90 environ par tour.
    Blanc-crème, cordes et Protoconque brunes.
    Se distingue de S. flamigera par sa silhouette et sa sculpture plus fine.
    Morte sur le fond de sable de 15-25 m. Assez commune, mais rarement vivante.
    Hauteur maximale 20,5 mm.

Imbricaria salisburyi  (Drivas & Jay, 1990) GH 19
Proposition Raymond Huet

Très fine et élancée, spire plus haute que l'ouverture. Téloconque de 8 tours plats, 4 cordes spirales arrondies par tour, une corde très fine dans chaque intervalle. Intervalles avec de fines côtes axiales, environ 40 au demi-tour.
    Blanc brillant, les cordes légèrement teintées.
    Hauteur 23 mm.
    1 spmn dans le sable dragué de 90 m. St. Paul
    Diffère de la sp GH 18 par sa taille plus fine et le moins grand nombre de petites côtes

Imbricariopsis punctata (Swainson, 1821). (272).
Mise à jour Raymond Huet

En forme de cône à spire peu élevée et à bords concaves. Fins sillons spiraux ponctués. 5 à 7 plis columellaires.

Fauve avec une bande spirale plus pâle sous l'épaule.

Vivante dans le sable des lagons et en mer jusqu'à 5-6 m. Assez commune.

Hauteur maximale 16,6 mm.

Imbricariopsis punctata (Swainson, 1821). Coll Jean-Pascal Quod

Hauteur 15 mm.

Nebularia acuminata Swainson, 1824. (112)
Mise à jour Raymond Huet

Presque biconique, spire très pointue à bords concaves, lisse.

Jaune orange avec une bande spirale et le sommet plus pâles.

Vivant dans les lagons, sous les pierres et dans les massifs d'algues calcaires. Commune.

Hauteur maximale 34,2 mm.

Nebularia aegra (Reeve, 1845) 3717
Proposition Raymond Huet

Fusiforme, hauteur de la spire égale à l'ouverture. Cordes spirales aplaties 6 sur l'avant-dernier tour, leurs intervalles étroits avec des petites côtes axiales. Blanc brillant avec des taches brun pâle sur toute bla hauteur du tour.
    Assez voisine de Scabriocola lavoisieri (fiche 1).
    Un spmn dans le sable de 105 m l'Hermitage.
    Hauteur 14 mm

Nebularia aegra (Reeve, 1845) 3553
Proposition Raymond Huet

Biconique arrondie, ouverture égale à la spire. Des sillons spiraux profonds, 4 sur l'avant-dernier tour, séparent des cordes aplaties, surcroisées par des sillons axiaux plus sérrées , donnant dans les sillons spiraux des puits profonds.
    La couleur évoque celle de Neocancilla clathrus.
    1 spmn dans le sable dragué à 107 m, l'Hermitage. Don. G.H.
    Hauteur 19 mm.

Nebularia chrysostoma (Broderip, 1836). (866).
Mise à jour Raymond Huet

Epaisse, ovalaire pointue, large. Cordes spirales épaisses et élevées, 5 sur les tours, 20 sur le corps, séparées de profonds sillons. De nombreux fins sillons axiaux les surcroisent. Lèvre externe épaisse , lisse, un peu contractée.
    Blanc crème avec des taches quadrangulaires brun-rouge foncé, en 2 rangées spirales sur le corps.
   Vivante sous les pierres dans les lagons et en mer peu profonde. Rare.
   Hauteur maximale 45 mm spécimen  : 33 mm

Nebularia coarctata (Reeve, 1844). (1364).
Mise à jour Raymond Huet

Biconique ovalaire, Des sillons spiraux découpent des cordes spirales aplaties, 11 sur l'avant-dernier tour, 40 à 45 sur le corps. Ouverture étroite, lèvre externe épaisse et lisse.
    La sculpture est plus fine que sur M. chrysostoma.
   Blanc-crème avec des taches brun-rouge allongées axialement, en 2 rangées spirales sur le corps.
   Morte sur le fond de sable, à 10-20 m. Très rare.
   Hauteur maximale 31,7 mm.

Forme juvénile probable : Raymond Huet

7mm Réunion décembre 2012.

Nebularia contracta Swainson, 1830. Coll.Drivas
Mise à jour Raymond Huet

Solide et ovoïde, contractée à la base, canal antérieur recourbé. Sillons spiraux peu profonds, 11 sur l'avant-dernier tour, 40 sur le corps.
    Blanc-crème avec des taches brunes allongées axialement, en une rangée spirale sur les tours, et deux sur le corps.
   Plus allongée que M. coarctata, avec des tours plus nombreux.
   Vivante sous les pierres à 10-20 m.
   Hauteur maximale 34,9 mm spécimen : 28 mm

Nebularia contracta  (Swainson, 1820)  GH 1
Proposition Raymond Huet

Biconique arrondie, spire aussi haute que l'ouverture comprimée. Fins sillons spiraux, 9 sur l'avant-dernier tour. Lèvre externe lisse.

Blanc crème avec une rangée spirale de taches brun-orange plus ou moins jointives, et 2 bandes sur le corps.

2 spmns morts sur le fond de sable de 50 m, St. Leu

Hauteur 25 mm

Nebularia deynzery  (Cernohorsky, 1980) GH 11
Proposition Raymond Huet

Fusiforme, hauteur de la spire égale à l'ouverture. Sillons spiraux ponctués, 5 à l'avant-dernier tour.
    Brun très pâle avec des taches axiales plus foncées et une bande crème au milieu du corps.
    1 spmn dans le sable dragué à 100 m.
    Hauteur 13,5 mm

Nebularia deynzery (Cernohorsky, 1980) Coll. GH
Mise à jour Raymond Huet

Mitre mince et très élancée; ouverture élevée et étroite, moins haute que la spire. Aucune sculpture axiale ni spirale. 2 plis columellaires.
    Couleur crème avec des lignes spirales orange, 4 sur les tours (2 fortes et deux faibles) et 13 sur le corps. Quelques lignes axiales plus larges disséminées, de la même couleur.
   1 spmn à 80 m l'Hermitage.
   Hauteur 37 mm, largeur 9 mm.

Nebularia deynzery (Cernohorsky, 1980) GH 9
Proposition Raymond Huet

Spire plus haute que l'ouverture. Téloconque de 5 tours. Des sillons spiraux, 5 sur l'avant-dernier tour, plus profonds sur les premiers tours que sur les 2 derniers.

Couleur crème foncé, avec des taches axiales brun orange.

Un spmn dragué à 120 m, Souris chaude

Hauteur 9,7 mm.

Nebularia dondani (Cernohorsky, 1985) Coll. GH
Mise à jour Raymond Huet

Mitre fusiforme élancée, spire conique de 8 tours, ouverture étroite un peu moins haute que la spire; 5 plis columellaires. Sillons spiraux, 4 principaux par tour, avec un plus faible dans chaque intervalle.
    Couleur beige pâle, des lignes spirales plus foncées, et des taches blanches disséminées dont une rangée sous-suturale.
   1 spmn sur le sable, la pointe au sel, 30 m.
   Hauteur 36 mm, largeur 7 mm.

Nebularia edentula (Swainson, 1823). (645).
Mise à jour Raymond Huet

Ovalaire allongée et pointue, ouverture plus haute que la spire. Crètes spirales arrondies et espacées, 3 sur les tours, 6 sur l'avant-dernier tour, 30 sur le corps. Intervalles avec de petites stries axiales serrées. Pas de pli columellaire.
    Blanc crème avec des taches brun-rouge plus ou moins confluentes en 2 rangées spirales sur le corps.
   Vivante sous les pierres de 10 à 50 m. Rare.
   Hauteur maximale 32 mm.

Nebularia fastigium (Reeve, 1845). (403).
Mise à jour Raymond Huet

Très large et solide, ouverture plus haute que la spire. Lèvre externe droite et épaisse. Suture profonde et tours crènelés. Stries spirales serrées peu visibles.

Beige noisette avec des lignes spirales plus foncées, et de petits traits bruns sur la lèvre externe. Sommet et intérieur blancs.

Vivante sous les pierres de 1 à 5 m. Peu commune.

Hauteur maximale 22,7 mm.

Nebularia ferruginea (Lamarck, 1811). (568).
Mise à jour Raymond Huet

Epaisse et solide, ouverture égale à la spire, canal antérieur recourbé. Finement crènelée à la suture. Crètes spirales arrondies et larges, 5 sur l'avant-dernier tour, avec des intervalles larges occupés par des fines stries axiales. Lèvre externe denticulée.

Blanc-crème avec des taches brun-rouge allongées axialement et interrompues au milieu du corps.

Vivante sous les pierres dans les lagons. Peu commune.

Hauteur maximale 39,6 mm.

Nebularia incompta (Lightfoot, 1786). (1480).
Mise à jour Raymond Huet

Epaisse et solide, spire haute comme une fois et demi l'ouverture. Profonds sillons spiraux, 7 sur l'avant-dernier tour, 22 à 23 sur le corps, incisant de petits plis axiaux arrondis irréguliers.
    Brun pâle avec des bandes axiales plus foncées, et une bande spirale crème au milieu du corps. Ouverture crème.
   Vivante dans le sable à 45 m. Très rare.
   Hauteur maximale 160 mm spécimen 74 mm

Nebularia multiplicata (Pease, 1865) (145).
Mise à jour Raymond Huet

Fusiforme, corps presque cylindrique, spire un peu plus courte que l'ouverture étroite. 7 plis columellaires. Lèvre externe épaisse.

Blanche avec unréseau de fines lignes oranges spirales et axiales espacées.

Morte sur le fond de sable, de 10-20 m. Très rare.

Hauteur maximale 50 mm spécimen : 28 mm

Nebularia multiplicata (Pease, 1865). (Raymond Huet).
Proposition Raymond Huet

Juvénile de 5 mm, Réunion, 2010

Nebularia cf. peasei (Dohrn, 1860).Coll. Raymond Huet
Proposition Raymond Huet

.

Hauteur  9 mm

Nebularia pellisserpentis (Reeve, 1844). (308).
Mise à jour Raymond Huet

Spire un peu plus haute que l'ouverture, et pointue. Sillons spiraux et axiaux entrecroisés donnant à la surface un aspect granuleux. Lèvre externe crènelée.

Jaune beige avec une bande spirale plus pâle.

Vivante sous les pierres et les algues calcaires dans les lagons et en mer jusqu'à 50 m. Commune.

Hauteur maximale 35 mm spécimen  : 24 mm

Nebularia pyramis (Wood, 1828) ( 1015)
Mise à jour Raymond Huet

Spire étroite et pointue, plus haute que l'ouverture. Suture profonde et tours crènelés. Sculptée de sillons axiaux et spiraux régulièrement entrecroisés.

Jaune-orange pâle avec des taches rouge-orange sous la suture, et une bande étroite de même couleur à la partie moyenne et à la partie inférieure du corps.

Vivante dans le sable de 10 à 70 m. Rare.

Hauteur maximale 52,7 mm.

Nebularia ustulata (Reeve, 1844) (1239).
Mise à jour Raymond Huet

Spire égale à l'ouverture, mais très pointue. Stries spirales peu profondes et serrées, 25 à 30 sur l'avant-dernier tour, séparant des cordes aplaties. Très fines stries axiales irrégulières.

Blanc-crème avec des taches brun-rouge en 2 rangées spirales sur les tours, 3 rangées sur le corps. Intérieur blanc-crème.

Morte sur le fond de sable à 10-20 m. Très rare.

Hauteur maximale 39 mm.

Neocancilla clathrus (Gmelin, 1791). (716).

Ogivale, spire égale à l'ouverture. Cordes spirales saillantes, incisées par de fins sillons axiaux, en tubercules quadrangulaires. Une à deux cordes secondaires dans les intervalles. Les cordes sont plus étroites à la partie antérieure du corps.

Blanche avec des taches brun-rouge allongées axialement. Partie antérieure du corps rose ou gris-rose sur les spmns frais.

Les juvéniles sont entièrement roses.

Vivante dans le sable à 10-20 m. Peu commune.

Hauteur maximale 33,6 mm.

Neocancilla papilio (Link, 1807). (565).

Fusiforme, ouverture égale à la spire. Cordes spirales aplaties, 4 à 5 sur l'avant-dernier tour, 15 à 17 sur le corps; cordes secondaires, de 1 à 4 dans leurs intervalles. Toutes incisées profondément par des sillons axiaux irégulièrement espacés, donnant à la surface un aspect granuleux irrégulier.

Blanc-crème avec de petites taches brunes disséminées. Ouverture orange.

Vivante dans le sable de 10-20 m. Peu commune.

Hauteur 35 mm.

Neocancilla papilio emersoni (Pilsbry, 1921) GH8
Proposition Raymond Huet

Biconique très arrondie, spire égale à l'ouverture. 5 cordes spirales fines arrondies espacées par tour; des côtes axiales un peu plus fines les croisent, au nombre de 20-22 au demi-tour. donnant un aspect finement granuleux.

Crème avec des taches plus brunes disséminées

Proche de N. takisaoi (coll Drivas) mais à plus de côtes.

Un spmn dans le sable dragué à 125 m l'Hermitage.

Hauteur 21,3 mm

Neocancilla papilio emersoni (Pilsbry, 1921)  GH 10
Proposition Raymond Huet

Biconique arrondie, spire aussi haute que l'ouverture. 3 forts sillons spiraux limitant des cordes spirales, 4 sur les tours, surcroisées de sillons axiaux profonds les découpant en tubercules carrés. Les sillons spiraux plus fins sur le corps, et plus espacés, les sillons axiaux sqnt plus fins et beaucoup plus serrés.
    Couleur crême uni.
    Un spmn dans le sable dragué à 100 m, baie de St. Paul.
    Hauteur 7 mm

Neocancilla papilio emersoni (Pilsbry, 1921) GH 12
Proposition Raymond Huet

Fusiforme, hauteur de la spire égale à l'ouverture. Protoconque de 2 tours lisses, téloconque de 5 tours. Cordes spirales fortes, arrondies, un peu plus larges que leurs intervalles, au nombre de 5 sur les tours; la supérieure plus faible. Côtes axiales plus étroite mais aussi hautes les croisant à angles droits, avec seulement de très legers renflements aux points de croisement, en un dessin quadrangumlaire très marqué, environ 30 côtes au demi-tour.
    Blanc uni.
   1 spmn dans le sable dragué à 95 m Baie de St. Paul
   Hauteur 14 mm

Neocancilla papilio emersoni (Pilsbry, 1921)  (996).
Proposition  Raymond Huet

Spire pointue plus haute que l'ouverture. Cordes spirales principales, 6 sur l'avant-dernier tour, 25 environ sur le corps, et des cordes secondaires dans leurs intervalles, au nombre de 1 à 5, surcroisées de profondes incisures axiales irrégulièrement espacées leur donnant un aspect perlé.

Crème avec des taches brunes ponctiformes sur les cordes. 2 taches carminées sur la lèvre externe.

Vivante dans le sable de 40 m. Très rare.

Hauteur  15,7 mm.

Neocancilla takiisaoi (Kuroda & Sakurai in Kuroda, 1959). Coll.Drivas

Spire allongée et pointue un peu plus haute que l'ouverture. Profonds sillons spiraux irrégulièrement espacés, 8 par tour, croisés par des sillons axiaux eux aussi irréguliers, 13 sur l'avant-dernier demi-tour. Il en résulte une réticulation marquée mais très irrégulière.

Taches irrégulières crèmes et oranges. Ouverture crème

Vivante dans le sable à 65 m. Très rare.

Hauteur maximale 37,6 mm.

Pseudonebularia chrysalis (Reeve, 1844). (1117).
Mise à jour Raymond Huet

Ovalaire large et courte, épaisse. Fortes cordes spirales acuminées, avec de fines côtes axiales dans leurs intervalles.

Orange vif avec une rangée spirale de taches blanches au milieu du corps.

Vivante sous les pierres dans les lagons et en mer peu profonde. Rare.

Hauteur maximale 17,2 mm.

Pseudonebularia cucumerina (Lamarck, 1811). (170).
Mise à jour  Raymond Huet

Solide, large et courte, ouverture égale à la spire. Crètes spirales élevées à sommet arrondi. Leurs intervalles en forme de V, occupés par de fines stries axiales sérrées.

Brun rouge avec une bande pâle interrompue au milieu du corps. Intérieur brun pâle.

Vivante sous les pierres et dans les massifs d'algues calcaires, dans les lagons. Commune.

Hauteur maximale 32,2 mm.

Pseudonebularia fraga (Quoy & Gaimard, 1833). (1605).
Mise à jour  Raymond Huet

Ovalaire, spire allongée un peu plus haute que l'ouverture. Fortes cordes spirales régulières, 4 sur l'avant-dernier tour, 11 sur le corps et la base; intervalles en forme de U avec de fines stries axiales. Ouverture festonnée.
    Couleur blanc-crème.
    Morte sur le fond de sable, de 10-20 m. Très rare.
    Hauteur maximale 23,3 mm.

Pseudonebularia lienardi (Sowerby, 1874). (902).
Mise à jour  Raymond Huet

Epaisse, ouverture égale à la spire. Cordes spirales larges arrondies au sommet, 4 sur les tours, 12 sur le corps; leurs intervalles occupés par de fins sillons axiaux.
    Blanc-crème avec des taches brun-rouge allongées axialement et plus ou moins confluentes, respectant une bande spirale au milieu du corps. Intérieur blanc- crème.
   Vivante dans le sable, de 12 à 40 m. Rare.
   Hauteur maximale 23,9 mm.

Pseudonebularia maesta (Reeve, 1845) GH 14
Proposition Raymond Huet

Protoconque brisée, 7 tours de téloconque. Des sillons profonds limitent des cordes spirales aplaties, au nombre de 5 sur les tours, égales entre elles, et divisées par des sillons axiaux en nodules rectangulaires allongés verticalement, peu convexes, au nombre de 30 environ au demi-tour.
    Blanc crème
    Taille moyenne 15 mm
   1 spmn dans le sable dragué à 100 m.

Pseudonebularia rubiginea (A.Adams, 1855). (903)
Mise à jour  Raymond Huet

.Pour Cernohorsky, synonyme de M. fraga.

Ovalaire allongée, spire pointue égale à l'ouverture. Fortes crètes spirales arrondies, 3 sur les tours, 10 sur le corps. Intervalles en U avec des sillons axiaux surcroisant le sommet des cordes.

Brun -orange

Un seul spmn vivant dans le sable à 12 m.

Hauteur 38,2 mm.

Pseudonebularia rubritincta (Reeve, 1844). Coll.Drivas
Mise à jour  Raymond Huet

Ovalaire, ouverture égale à la spire. 12 plis axiaux au dernier tour. 4 cordes spirales arrondies par tour, intervalles arrondis avec de fines côtes axiales serrées. 3 plis columellaires.

Rouge orange plus ou moins foncé, avec une bande spirale et la base blanches.

Un seul spmn mort sur le sable à 12 m.

Hauteur 23,4 mm.

Pseudonebularia rutila (A. Adams, 1853) (Coll. Martin)
Mise à jour Raymond Huet

Régulièrement conique, 7 tours à bords droits. Sillons spiraux ponctués, 8 sur l'avant-dernier tour.

Brune, une ligne spirale sous-suturale plus pâle, une série de taches blanches sous-suturales au dernier tour. Ouverture blanche.

Baie de la Possession, sous les galets à 2-3 m.

Dimensions 30,1 mm x 10,5 mm.

Pseudonebularia tabanula (Lamarck, 1811). (618).
Mise à jour  Raymond Huet

Biconique arrondie large et courte. Cordes spirales arrondies, 3 sur les tours, 10 sur le corps. Intervalles en V plus larges que les cordes, portant de petites côtes axiales qui n'atteignent pas le sommet.

Brun-rouge, les cordes plus pâles, une bande spirale aumilieu du corps et sommet crèmes.

Les cordes sont pous étroites que chez M. cucumerina.

Vivant sous les pierres dans les lagons. Commune.

Hauteur maximale 16,2 mm.

Pseudonebularia cf. wareni (Poppe, Tagaro & Salisbury, 2009) 3720
Proposition Raymond Huet

Silhouette ovalaire large. Ouverture 2 fois plus haute que la spire, qui est courte et très turriculée, de 5 tours. Protoconque brisée après un tour lisse. 5 tours de teloconque. Fortes cordes spîrales, 3 sur les tours, 10 sur le corps, leurs intervalles en V portant de fines cordes spirales et des sillions axiaux irréguliers. Fauve pâle uni.

1 spmn dans le sable dragué à 100m St. Gilles.

Hauteur 18mm

Pterygia conus (Gmelin, 1791). Collection Raymond Huet

Forme juvénile

Solide, en forme de cone à spire élevée et apex pointu, blanche avec des bandes spirales jaunâtres. 

Cordes spirales surcroisées par des cordes axiales formant de légers nodules aux intersections.

Tours de spire concaves et épaule anguleuse marquée de petits nodules.

Labre lisse côté interne et crénelé côté externe.

Coquille juvénile sans dents columellaire

taille 6.6 mm

Pterygia crenulata (Gmelin, 1791). (146).

Ovalaire allongée, ouverture 4/5 de la hauteur totale. Spire courte de 6 tours crènelés. Sillons spiraux profonds et ponctués, 4 sur les tours, 35 à 40 sur le corps, et fins sillons axiaux, donnant un aspect réticulé, mais seule la rangée sous-suturale est granuleuse. Lèvre externe épaisse et crènelée.

Blanc-crème avec des lignes axiales brunes formant 4 à 5 grandes ondulations.

Vivante dans le sable de 10-20 m. Très rare.

Hauteur maximale 26,4 mm.

Pterygia glans Reeve, 1844. (Coll. Martin)

Solide, ovalaire, spire pointue courte, 1/7 ème environ de la hauteur totale. Couverte de tubercules carrés, découpés par des sillons spiraux profonds coupant des sillons axiaux plus larges. 8 plis columellaires. Lèvre externe incisée par les sillons spiraux, (23 sur la hauteur totale).

Couleur brun pâle; lèvre externe blanche.

Diffère de Pterygia crenulata par sa sculpture plus grosse, sa couleur plus uniforme, avec un point blanc sur chaque tubercule. Séparée de P. crenulata dans le lot de Martin, 20-30 m St. Gilles.

Dimensions 22,4 mm x 9,9 mm.

Pterygia japonica Okutani & Matsukuma, 1982 (Coll. Martin)

Très allongée, spire ogivale courte, hauteur de l'ouverture plus de 5 fois la spire. Sillons spiraux ponctués très réguliers. 8 dents sur la moitié inférieure de la columelle.

Blanc crème avec quelques lignes spirales brunes et taches brunes allongées disséminées.

A la barge de St. Paul, 20 m.

Dimensions 25,6 mm x 7,2 mm.

Pterygia nucea (Gmelin, 1791). (69).

Ogivale courte et large, ouverture plus haute que la spire.

Blanche avec 2 rangées spirales interrompues de taches brun foncé.

Les adultes ont souvent une surface attaquée.

Vivante dans le sable des lagons. Rare.

Hauteur maximale 45 mm.

Pterygia scabricula (Linné, 1758). Coll.Drivas

Lourde et épaisse, ouverture un peu plus haute que la spire. Fortes cordes spirales arrondies, 5 par tour. De profonds sillons axiaux, 40 à 42 au dernier tour, incisant les cordes, mais plus profonds dans leurs intervalles.

Brune avec des taches blanches.

Un seul spmn trouvé mort sur la plage.

Hauteur 23,5 mm.

Pterygia sinensis (Reeve, 1844) (3415)

Ovalaire, hauteur de l'ouverture 3,5 fois la spire. Cordes spirales sérrées, 4 sur les tours, incisées en granules par des sillons axiaux.

Couleur crème et blanc.

Adulte Pointe du gouffre St. Denis, 6m, (Coll. Martin), les juv. St. Gilles 20 m.

Adulte 29,5 mm x 12,5 mm;