Annepona mariae (Schilder, 1927). (1065)
Mise à jour Raymond Huet
Globuleuse et à peine rostrée. Ouverture fine et droite.
Blanche avec de petites ocelles jaunes cerclées de brun.
Toujours trouvée morte sur les fonds de 10-20 m, sous les coraux en feuilles Très rare.
Longueur variable de 13 à 20 mm. |
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Annepona mariae (Schilder, 1927).
Photo Raymond Huet : 15 mm Réunion
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Arestorides argus (Linné, 1758). (428)
Mise à jour Raymond Huet
Cylindrique.
Caractérisée par ses dessins en anneaux brun foncé.
Dans les trous de corail ou sous les pierres, de 5 à 45 m. Rare.
Longueur variable de 65 à 95 mm. |
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Bistolida hirundo (Linné, 1758) (1016)
Mise à jour : Raymond Huet
Ovalaire, séparée de C. kieneri par sa forme moins allongée, ses dents plus fines occupant presque toute la base.
Dos avec des taches brunes sur fond verdâtre coupé de 2 bandes blanches.
6 spmns trouvés dans le sable de 30 m. Coll. Martin.
Dimensions : 17 mm x 10 mm x 8 mm. |
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Bistolida kieneri (Hidalgo, 1906). (454)
Mise à jour Raymond Huet
Dents columellaires petites sur la moitié antérieure, longues sur la moitié postérieure.
Dos noir avec des bandes transversales blanches. Base blanche, fin pointillé sur les flancs et le dos.
Vit à la base des blocs de coraux, dans les lagons. Dans les, grottes à 30-40 m. Parfois rejetée sur la plage. Rare.
Longueur variable de 12,5 à 21 mm. |
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Bistolida owenii (Gray in Sowerby, 1832). (453)
Mise à jour Raymond Huet
Ovalaire aplati et calleuse. Dents grosses et saillantes moins longues que la largeur des lèvres.
Les flancs sont tachés de brun. Fin piqueté brun sur le dos brun-pâle
et crème, qui se fane rapidement après la mort.
Seulement 2 spécimens vivants sous les pierres à 12
m. Morte sur les plancher des grottes à gorgones 35-40 m. Souvent
rejetée sur la plage, plus ou moins défraîchie.
Longueur variable de 8 à 17,5 mm.
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Bistolida stolida (Linné, 1758). (908)
Mise à jour Raymond Huet
Ovalaire, convexe, lèvre externe calleuse. Dents externes fortes et longues.
Base blanc crème, dos gris-brun avec une large tache brune entre 4 taches latérales.
Exceptionnellement vivante sous les pierres. Rarement rejetée sur la plage. Très rare.
Longueur variable de 24 à 31 mm. |
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Callistocypraea broderipii (Sowerby, 1832) .
Mise à jour Raymond Huet
Grande taille, ovalaire et dos arrondi.
Brun-orange avec des taches crème arrondies de tailles variables.
Vivante dans les trous de corail ou sur les rochers basaltiques de 40 à 110 m. Très rare.
Longueur variable de 80 à 100 mm.
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Chelycypraea testudinaria (Linné, 1758). (431)
Mise à jour Raymond Huet
Longue et cylindrique.
De petits points blancs disséminés lui donnent un aspect dépoli.
Vit dans les coraux vivants en eau peu profonde jusqu'à 10 m. Peu commune.
Longueur variable de 100 à 140 mm. |
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Cribrarula esontropia cribellum Gaskoin, 1849. (496)
Modification : Raymond Huet
N'est en réalité que la forme étroite de C. esontropia Duclos, 1838
Etroite pour la longueur, ocellée, points noirs sur les 2 côtés. Porte souvent une tache brun pâle sur la lèvre columellaire.
Vivante sous les pierres de la zone battue. Rare.
Longueur variable de 11 à 19 mm. |
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Cribrarula cribraria (Linnaeus, 1758) Coll. Martin
Modification : Raymond Huet
Face ventrale et flancs blancs sans aucune tache ou point. Dos brun avec des taches blanches rondes.
Morte sur le fond à 15 m à l'aplomb de la falaise au cap La Houssaye.
Hauteur 15 mm. |
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Cribrarula esontropia (Duclos, 1833). (447)
Forme deltoïdale, aplatie, bords calleux portant des points noirs.
Brune avec des taches rondes blanches. L'animal est
toujours rouge vif avec des papilles simples de même couleur
L'espèce parait assez variable; certains spécimens
n'ont que quelques points sur les bords, et de rares autres n'en ont
pas, ce qui pourrait conduire à tort à les identifier comme C. cribraria.
Quant à la forme, tous les intermédiaires existent entre la frorme
deltoïdale décrite par Duclos, et la forme, étroite décrite par
Gaskoin. l'espèce doit s'appeler C. esontropia.
Vivante sans les coraux ou sur les rochers la nuit, de 1 à 15 m. Rare.
Longueur variable de 15 26 mm. |
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Cribrarula gaskoini (Reeve, 1846). (1096) Coll. Drivas.
Mise à jour : Raymond Huet
Très petite, ovalaire,dos beige orange avec de nombreuses taches blanches, une rangée de points brun-rouge sur les flancs.
Connue à la Réunion par un spécimen trouvé mort à 33 m.
Cette
espèce n'est en principe pas décrite dans la zone Mascareignes. Mais
VIADER avait déjà rapporté une telle trouvaille en 1938 à Maurice.
Longueur 12,5 mm. |
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Cypraea tigris Linné, 1758. (429)
Très globuleuse, taches noires ou grises de topographie variable.
Vit dans les lagons en eau peu profonde. Rare à la Réunion, ou elle atteint souvent une grande taille.
Longueur variable de 68 à 115 mm. |
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Erronea caurica (Linné, 1758). (446)
Mise à jour : Raymond Huet
Caractérisée par son ouverture large et ses dents très fortes.
Vivante sous les pierres en eau peu profonde de 1 à 12 m. Rare à la Réunion, fréquente ailleurs.
Longueur variable d'environ 27 mm. |
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Erronea onyx (Linné, 1758). (497)
Mise à jour Raymond Huet
Pyriforme, C'est la forme adusta Lamarck, 1820.
Entièrement brun chocolat avec des dents plus pâle.
Connue par un spécimen vivant sur le platier, Coll. Drivas. Exceptionnelle à la Réunion.
Longueur 42 mm. |
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Ipsa childreni (Gray, 1825) 1791. (655)
Mise à jour Raymond Huet
Cylindrique, avec des côtes transversales régulièrement espacées, foncées sur fond crème.
Vivante dans les trous du corail de 10 à 20 m. Très rare. Ou morte sur le fond de sable 20-30m Rare.
Longueur variable d'environ 24 mm. |
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Leporicypraea mappa (Linné, 1758). (468)
Mise à jour Raymond Huet
Caractérisée
par la présence sur le dos, d'une large bande pâle ramifiée en
prolongements arrondis ou bifides, justifiant la comparaison avec une
carte de géographie.
La forme courante à la Réunion a une base pâle avec des dents plus pâles. D'autres spécimens ont la base violacée.
Vit dans les trous des rochers et sous les plaque coralliennes 1 à 70 m. Rare.
Longueur de environ 70 mm. |
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Luria isabella (Linné, 1758). (441)
Mise à jour Raymond Huet
Cylindrique.
Gris beige avec de fines lignes longitudinales noires interrompues.
Extrémités oranges. Les couleurs se fanent rapidement. Animal noir.
Vit sous les pierres ou dans les algues calcaires des lagons à 40 m. Commune.
Longueur variable de 18 à 35,5 mm. |
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Lyncina carneola (Linné, 1758) (460)
Mise à jour Raymond Huet
Espèce la plus allongée du groupe. Les papilles du manteau sont typiques.
Orange avec des bandes plus pâles, sans anneau violet.
Trouvée morte sur le fond de sable, ou vivante sous les pierres. Assez commune.
Longueur variable de 17,5 à 34,2 mm. |
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Lyncina propinqua (Garrett, 1879). (1567)
Mise à jour Raymond Huet
Ovalaire très convexe arrondie, moins allongée que C. carneola.
Orange à bandes, avec un anneau violet sur le dos, qui se fane plus ou moins après la mort.
Vit sous les pierres, en mer de 10 à 20 m. Assez commune.
Longueur variable de 19 à 36,5 mm. |
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Lyncina leviathan Schilder & Schilder, 1937. (858)
Mise à jour Raymond Huet
La plus grande du groupe Cypraea carneola. Globuleuse.
Dents mauve pâle, intervalles plus foncés. Papilles du manteau ramifiées blanches.
Vit dans les lagons sous les pierres. Très rare.
Longueur variable de 57 à 75,5 mm. |
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Lyncina lynx (Linné, 1758). (459)
Mise à jour Raymond Huet
Ovalaire et très convexe.
Fond crème avec des taches brunes et des reflets orange ou bleutés. Intervalles entre les dents brun-orange.
Vit dans les lagons dans les coraux Acropora . Assez courante.
Longueur variable de 23 à 66 mm. |
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Lyncina vitellus (Linné, 1758). (427)
Mise à jour : Raymond Huet
Ovoïde, lourde.
Taches blanches sur fond brun pâle à reflets bleuté.
Vit dans les lagons sous les pierres ou dans les coraux. Rare.
Longueur variable de 35 à 62 mm. |
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Lyncina vitellus (Linné, 1758). Coll Jean-Pascal Quod
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Mauritia arabica (Linné, 1758). (433).
Mise à jour Raymond Huet
Ovalaire et base aplatie.
Taches brunes sur les marges. Dents brun-rouge.
Les exemplaires de grande taille ont été décrits comme forme C. immanis Schilder & Schilder,1939.
Vivante sous les pierres et les trous du corail et
des rochers basaltiques de la surface à 50 m environ. Commune.
Longueur variable de 44 à 82 mm.
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Mauritia depressa Gray, 1824. (434)
Mise à jour Raymond Huet
Aplatie et bords très calleux.
Dos brun avec au centre de petites taches blanches. Base crème avec des dents brun-rouge.
De rares spécimens portent une tache brune sur la face inférieure comme C. maculifera.
Vivant dans les trous sur la barrière. Peu courante.
Longueur variable de 34 à 41 mm. |
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Mauritia histrio (Gmelin, 1791). (501)
Mise à jour : Raymond Huet
Ovalaire, convexe, caractérisée dans le groupe Cypraea arabica par une tache brune à la pointe de la spire et l'aspect réticulé du dos avec taches claires polygonales.
Dans les coraux ou sous pierres de 5 à 15 m. Assez rare.
Longueur variable de 51 à 67 m. |
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Mauritia mauritiana (Linné, 1758). (432)
Mise à jour Raymond Huet
Bords élargis et épais, base aplatie.
Dos brun à taches crème, bords et base brun foncé.
Vivant sur les rochers basaltiques dans les zones battues. Très commune.
Longueur variable de 55 à 100 mm. |
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Mauritia scurra (Gmelin, 1791) (445)
Mise à jour Raymond Huet
Cylindrique, la plus allongée du groupe Cypraea arabica.
Dos brun avec des taches rondes grisâtres. Base avec des taches foncées
sur les bords. Dents courtes, fines et nombreuses, rougeâtres.
Vit dans les coraux vivants, de la surface à 50 m. Rare.
Longueur variable de 38 à 45 mm. |
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